bye bye Havana

 

Cine Cubaine en français: BYE BYE HAVANA

 

Directeur : J. Michael Seyfert

Une sentence réfléchie, bien fait ; le début du voyage a une réalité singulière ; Une étrange fourchette avec la réalité humaine dans le sens métaphysique du bonheur :

« La poursuite de la Félicité doit être coopératif, pas compétitif. Nous n`avons pas une vision précise d'elle, à moins que nous la voyions comme quelque chose que les hommes peuvent aider à une personne à l'atteindre, au lieu de l' atteindre en battant leurs voisins » Aristote.

Bien que le film Bye, Bye Havana n`ait pas une position politique - ou parce qu'il ne l'a pas- il y est démontré une accusation sociale en travers la structure, précisément politique, dans celle à l'aquelle le pays subsiste.

Le socialisme a fait de Cuba le bourreau de son propre espoir ; Les singulièrs images que le directeur a voulu bien mettre en valeur indiquent, manifestant habilement les circonstances qui ont émané de la dégradation du système et qui, en plus, en provoquent un incessant devenir des événements qui contredisent les principes mêmes de l'idéal révolutionnaire. Ainsi le film laisse au critère de chacun, de juger une réalité de la condition humaine, en particulier la réalité cubaine, nous montrant de manière subtil ce qui est simplement la vérité, cela même que nous devons avoir présent dans nos propre contextes.

C'est un document de type existentiel, auquel se sont exhibés les nécessités minuscules de la subsistance, aussi bien que la jouissance de ces petites fortunes que le destin ne peux finalement pas tondre. Néanmoins, ligné de sens objectives, l'intention du document donc semble se centrer dans les conséquences résultantes du système socialiste qui est mené par Fidel Castro, du cloître qui a donné lieu à une profonde pauvreté et dépression sociale des gens.

Mon inclination, dans ce sens, est dirigée afin de révéler les impressions, on dit, subjectives -bien qu'évidents-, qui ont provoqué en moi ce distinctif documentaire.

La prière du sentiment, la voix d'une conscience nationale et la douleur de la distance : "tous les jours les révolutionnaires nous avons à lutter avec une série de problèmes quotidiens ... les cubains nous sommes étendus par tout le monde, et nous nous demandons la raison de cette malédiction d'être tous séparés. Combien plus mon amour, nous avons à attendre pour la promesse de ce jour? Combien plus je dois aller et revenir portant les extrémités détachées de mon identité ? ... Faire la guerre nous met en conflit avec nos mêmes objectifs Légalisez la paix!"

C'est un impressionnant contraste ; la société capitaliste actuelle, les vices qui sont formés dans la structure néolibérale, très particulièrement le consumériste et tout cette usine qui la génère ; le temps comme l'argent, la technologie, la modernisation, la carrière guerrier-économique des pays. Et Cuba, une île dans le naufrage, seule, silencieuse dans son propre discours, parce que ses rues parlent, ses bâtiments désolés, ses gens qui supportent les mots cachant sa différence d'opinion, sa résignation comme une muette peine et le plus irrésolu, au bord de la mer, quand la mort est une alternative, quand l'horizon, depuis la jetée, est le dernier rêve peut-être possible à atteindre. Mais comme une paradoxe obligé, l'inusité jubilé des danses, la joie de son peuple cédant aux instants de félicité, du chaleureux qui émerge toujours comme une espérance. C'est possible ?

Objectivement, dans le film elles sont affirmées réalités qui ont été motivées de l'établissement du système et qui maintenant sont les propres conséquences de la même : la prostitution des femmes cubaines - un important attrait touristique-; en revanche, la croissant délinquance, la dégradation des valeurs morales, les gens qui reçoivent des dollars et les gens qui doivent se conformer avec ça ils reçoivent du gouvernement ou celles soupçonneuses qui vendent un certain artisanat, quelque chose de 'touristique' pour "one dollar".

Les significations des images, les subtiles scènes poétiques qui sont capturées dans ce film :

Un racleur gâté sur un balcon vieux, presque en ruines, le vent, l'instant en lui, l'abandon ; au-dessous, dans les rues, les gens semblent ne pas être accélérés, le temps paraît ne pas être une préoccupation, peut-être parce qu'on espère plus un futur certain dans ces longs jours ; l'image de l'horloge sans pointeurs ; le temps apparaît comme infini, les jours passant égaux, comme un rêve qui va, comme une illusion prohibée : les rêves, les possibilités des rêves font le Temps, la nostalgie et l'espoir ; ainsi, quelqu'un déclare, résigné, avec vaine colère "Je n'ai pas quoi manger" et son regard obscur et la vieillesse additionnée à sa tristesse "toi, tu as"; et une chose si particulière, une couple d'aînés dansant, une tenu mesure du temps, le bonheur finalement dans le bal et, après, le mort ; ainsi, l'enfant sur un étroit balcon, attendant, le temps de la vie, le timide sourire d'un désir, la fatigue, l'arraché, ...l'absence.

Comme un vrai sourire entre les larmes, pour le souvenir peut-être qu'une fois Cuba fut, prospère, moderne : un homme chante, sa joie et sa modestie font penser à la beauté qui y subsiste et le sauvage dans les gens cubains, et fait savoir qu'il est important de soutenir la croyance qu'un monde mieux est vraiment possible, comme promettait autrefois la Révolution.

Et les mots du Commandant Che Guevara, en une scène silencieuse : une aînée courbée par les ans, affirmant son pas avec une canne, vendant le journal, la presse du système, certainement : "nos yeux libres s'ouvrent aujourd'hui áaux nouveaux horizons et sont capables de voir, que hier, notre condition d'esclaves coloniales nous empêchait d'observer, que la civilisation cache en bas sa voyante façade un cadre de hyènes et de chacals".

Le film, en général, montre beaucoup d'aspects d'une réalité que nous ne pouvons pas remettre comme villes avec des similitudes inévitables, que nous possédons valeurs et connaissons l'histoire à travers le même esclavage, de la délivrance de nos terres et la liberté qu'a signifié la mort, la captivité des héros révolutionnaires qui ont atteint par le sang et les poings ce que nous sommes aujourd'hui : une nation souveraine. C'est élémentaire de prendre connaissance de la réalité qui nous entoure et certainement nous menace, mais aussi d'avoir conscience du potentiel que nous possédons pour acquérir celui si désiré dudéveloppement de nos pays.

Sophie de Gaulle









 

 

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